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Forte de son succès et profondément touchée par l'intérêt porté par le publique à son encontre, la fluffy s'attache désormais à cracher la vérité au grand jour par le biais de compositions toutes plus piquantes les unes que les autres.

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En effet, la Fluffy aborde les problèmes de la vie de tous les jours, dénonçant l'Injustice, pointant du doigt le mensonge, se riant des conventions.

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Parallèlement a ce quartet,  s'ajoute depuis peu un autre projet d'ambition, la Fluffy s'offre désormais une rythmique de luxe           (cf                                                        ) en invitant la fine fleur du jazz tourangeau pour un répertoire encore plus punchy, plus crunchy, qui claque sous les bras.

C'est suite a la rencontre de troises (feminin de trois) chanteuses tourangelles, pourtant d'univers musicaux différents, que la Fluffy va naître.

 

Se trouvant un goût commun pour le jazz et le praliné lindt, elle va d'abord se tourner vers un répertoire plutôt traditionnel, interprétants de grands noms des années 30/40 (andrews sisters, chordettes, nanani, nanana), puis  se pencher sur les standards. Après avoir goûté aux joies de l'a capella (hhmmm), la Fluffy décidera d'ajouter au projet les talents d'un guitariste, précieux soutien harmonique et rythmique, tout en conservant la fraîcheur du trio vocal. 

 

 

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